LE PARTI DE GBAGBO (FPI) ET SON ALLIÉ TRADITIONNEL LE COJEP APPELLENT AU BOYCOTT DES LÉGISLATIVES DU 18 DÉCEMBRE

Le vendredi 16 décembre 2016,le Président du Cojep mouvement de soutien au Président Laurent Gbagbo,le camarade Youan bi Agénor accompagné d'une forte délégation et surtout la présence très remarquée du Vice- Président du FPI Maître Kouassi André ont répondu à  l'invitation de la Présidente Meless du parlement "espace la réfléxion"  à Yopougon Niangon-Nord  dans le district d'Abidjan.

  .Après l'acceuil de la délégation par les premiers responsables du dudit parlement et les civilités africaines.La parole fut donnée au Vice-Président Maître Kouassi André afin d'éclairé les démocrates sur la situation socio- politique en côte d'ivoire.Nous proposons un extrait. 

     D'entrée de jeu le vice-président maître KOUASSI André, c'était à souligné a l'Assemblée que rien ne peux devant les aspirations d'un peuple en quête de sa liberté, fustigeant ainsi ceux qui pensent que <<les blancs sont trop forts pour les affronter, il faut tout leur céder.>>.

    Ces occidentaux eux même doivent leur développement à des luttes héroïques. Il s'agit de la déclaration d'indépendance américaine de 1776 et de la révolution française de 1789. Cette révolution a consacré l'égalité des hommes en droit. Mais cette égalité était bonne pour eux, pas pour les autres peuples.

    Ainsi les africains ont-ils eu droit a la colonisation et ses méfaits. En 1960 la France octroya l'indépendance à ses colonies en se gardant de céder aux nations dites libérées des domaines comme : la défense, la monnaie, la diplomatie, en un mot leur souveraineté.

    Pour remédier à cet état des choses, Laurent GBAGBO alors opposant a du subir la prison, l'exil, les privations sans céder a l'appel de la conquête du pouvoir par les armes. En effet c'etaiconsultationses deux blocs Russie et USA. Chacune de ces puissances voulant étendre son influence surtout par la force. Le FPI optat pour la transition pacifique à la démocratie. Ce choix fut payant car il permit au FPI d'accéder au pouvoir en 2000..

   Cette accession avait pour toile de font l'arrêt de l'activité de tous les organismes de coopération du fait du scandale des 18 milliards de l'Union européenne. La banque mondiale, le FMI, l'UE, la BAD, le Japon avaient quitté notre pays. Toutefois il a suffit du sérieux et de l'expertise des refondateurs pour faire revenir ceux qui avaient fuit le pays. Ces succès et ceux qui s'annonçaient ne pouvait plaire aux impérialistes et a leurs valets locaux. Ils nous ont fait un coup d'État qui s'est mué en rébellion pour s'achever par une capture du président GBAGBO par la France et l'ONU et la CEDEAO a l'issue d'une guerre qui a causé plus de 24.000 morts.

     A la chute du président GBAGBO c'est l'ONUCI qui a demandé aux cadres du FPI de venir se réfugier a l'hotel la pergola. Tous ceux qui ont accepté d'y aller ont été transferes dans les prisons à travers le pays. C'est au sortir de la prison que certains camarades ont jugés que les blancs sont trop forts et qu'il faut tout leur céder y compromis nos convictions. Or le FPI a pour fondement la lutte contre toute forme de domination. Cette contradiction entre la direction et les textes a poussé les militants à faire appelle au président GBAGBO pour reprendre les commandes de son parti. Voilà l'origine de l'appel de Mama.

     Affi de son coté est appelé à rendre compte de sa gestion au militants. Il s'y refusa prenant le pouvoir Ouattara comme fouet pour réprimer les militants de son parti le FPI. Simone GBAGBO, Assoa Adou, Hubert OULAI, Lida KOUASSI, Bailly Patrice, KOUASSI Justin... Sont incarcérés sous plainte d'Affi. Ce sont ces personnes qui ont tournée le dos aux conventions, a la camaraderie qui sont aujourd'hui candidats pour accompagner Ouattara et ainsi légitimer son imposture. Ils font un calcul honteux car le peuple a définitivement vomit Ouattara et à ses alliés dont Affi et son groupe par le boycott de toutes les consultation de Ouattara.

    L'exemple le plus actuel est le boycott actif du prétendu référendum. Il a recueilli moins de 5% des inscrits. Les calculs de Ouattara et de ses alliés sont erronées d'autant plus que le contexte mondial est favorable aux forces du progrès donc a la libération du président GBAGBO. Les africains ont décidé de se retirer de la CPI, aux USA Trump a pris le pouvoir au détriment de Hillary la réactionnaire, en France Sarkozy n'est pas jugé digne de représenter son parti aux élections. La Russie est dirigée de mains de maître par Poutine.

    Ainsi on peut affirmer la liberation tres prochaine du président GBAGBO, de la Côte-d'Ivoire et de l'Afrique. L'espoir est plus que permis. Nous sommes dans l'accomplissement. Pour cette raisons le peuple de Côte-d'Ivoire doit boycott ces législatives. La victoire prochaine est à ce prix. 

Après son intervention ce fut le tour du Président Youan bi du Cojep d'intervenir, il a tenu à remercier le formateur et Vice-Président Maître Kouassi André pour sa brillante intervention, afin de  poursuivre son intervention: 

 "L'indigne et illégal président de la CEI, Youssouf Bakayoko répondra tôt ou tard de ses actes de fraudes massives et de haute trahison devant la justice de l'histoire. Il est la honte de notre pays. Camarades ! Comme le dictateur Ouattara a échoué dans sa funeste mission de vider le parti du Président Laurent Gbagbo de sa substance, il se tourne désormais vers ses alliés du RHDP, ainsi; le MFA, l' UDPCI et l'UPCI se voient démembrés progressivement, le PDCI sera désormais dans son viseur avec la complicité ou l'impuissance de Bedié, qui sera très vite dépassé par cette triste réalité et tous n'auront que leurs yeux pour pleurnicher."

 
" Quand le président élu de 2010 est bombardé, capturé et deporté à la Haye, rien ne peut être normal dans ce pays avec des hors la loi qui nous gouvernent sous l'onction des impérialistes mais, retenez une chose. Le peuple de Côte d'Ivoire aura le dernier mot ! N'allez pas votez le 18 décembre 2016 et personne ne vous mettra la corde au cou pour ça ", affirme le Président du Cojep.