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LE COMBATTANT
14 décembre 2016

L'UNION AFRICAINE EXIGE LA LIBÉRATION DU PRÉSIDENT LAURENT GBAGBO

   

 

Le conclave entre les Etats africains et la CPI qui s’est tenu du 6 au 7 décembre à Addis Abeba au siège de l’union Africaine livre ses secrets. En dehors des reformes des reformes sur les procédure judiciaires qui ont sanctionné les travaux, la question de la liberté provisoire pour le Président Laurent Gbagbo et  le Ministre Charles Blé Goudé a été abordée le temps pour la CPI de réunir toutes les conditions matérielles et financières pour la reprise du procès. «  Tout compte fait, certains observateurs africains demandent d’ores et déjà la mise en liberté provisoire du Président Laurent Gbagbo et du Ministre Charles Blé goudé. Car pour eux ,cette juridiction ne saurait se prévaloir de ses propos turpitudes pour les maintenir en prison indéfiniment, alors que jusque-là, les différents témoins n’ont pu attester du plan commun du camp Gbagbo allégué pour se maintenir au pouvoir par tous les moyens »,

images

révèle le site en ligne réseau-internationale.net qui lève ici un coin de voile des négociations entre les chefs d’Etat africains et la CPI en marge du sommet d’Addis Abeba .

De source concordantes ,la libération des deux accusés constitue la monnaie d’échanger entre la juridiction internationales et les Etats africains qui boudent la CPI .Ce sont les anciens chefs d’Etats africains conduit par Thabo Mbeki, ancien Président sud-africain qui ont donné le ton. 

  « Nous voudrions donc vous demander, Madame le procureur, de réexaminer l’affaire Laurent Gbagbo et entamer le processus de son retrait ou de son interruption. Nous sommes convaincus que cette option est la meilleure façon pour la cour de contribuer à la réalisation de la réconciliation nationale et de l’unité, de stabilité, du redressement et de la responsabilisation de la côte d’ivoire ,en donnant la possibilité à tous les ivoiriens de se réunir  pour régler leurs différends sans recourir à l’usage des armes »,extrait de la correspondance de la conférence des anciens chefs d’Etat africains à la CPIen date du 9 septembre 2015.

L’intransigeance de la cour pénale internationale face à la requête a conduit au retrait en cascade des Etats africains pour ramener la juridiction internationale à la table de négociations. C’est le sens du conclave d’Addis Abeba  sollicité par la CPI. 

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Commentaires
A
Libérer Gbagbo c'est libérer dramane
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A
Tant que la CPI restera la cour des présidents indociles il en sera ainsi jusqu'à la fin des temps. <br /> <br /> Aussi tant que les financiers des rébellions et autres conflits seront intouchables eh bien le monde ira toujours de mal en pire. <br /> <br /> En cote d'Ivoire les Soro et compagnies ne sont que des fairevaloir ou des cachesexes.
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