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LE COMBATTANT
10 mars 2018

Youan Bi Agénor : Le Président Gbagbo va revenir car les dirigeants actuels sont des incapables.

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Après le meeting d’hier dans le parlement «  le 11 avril » dans le quartier Koweit, le camarade Président Youan bi Agénor et sa délégation étaient ce samedi 10 mars 2011, dans la commune de Yopougon plus précisément dans le village de Kouté au parlement « la Refondation » ,de 16h à 19h pour  un meeting d’information et de mobilisation des militants du parti de Gbagbo.  Les militants attendent impatiemment sous des bâches  les camarades Youan bi et sa délégation. Une fois sur lieu du Meeting les militants et sympathisant du Fpi sont dans l’extase de voir l’intrépide combattant.

Après la joie et les salutations des militants, et les mots de bienvenue des responsables dudit parlement « la Refondation », la parole fut donnée au camarade Président Youan bi Agénor  afin de livrer le message du parti.

« Je salue les doyens pour leur présence et je salue également les responsables du parlement pour la mobilisation. Je voudrais aussi saluer

La diaspora  ivoirienne et africaine partout mais en Europe. Je salue les exilés politiques. Je salue tous les prisonniers politiques qui souffrent sous la dictature de Ouattara. Nous sommes des prisonniers en sursis. Ils doivent être dignes de par leurs comportements car bientôt il fera jour. Le feu de Ouattara est entrain de s’éteindre. Camarade le Président Gbagbo va revenir car les dirigeants actuels sont des incapables. La santé, l’éducation ne sont  pas la priorité pouvoir actuel. L’Etat asphyxie les entreprises, c’est un Etat méchant et commerçant. Le meurtre d’enfant  est la preuve de l’échec de la politique de Ouattara .Chacun doit sauver la Côte d’ivoire », a déclaré Youan bi Agénor.

Le camarade Youan bi Agénor explique aux militants la position du FPI, sur  la commission électorale indépendante.

«  Camarades, la Commission Electorale Indépendante (CEI) actuelle est composée de dix-sept (17) membres dont huit (08) émanent du pouvoir, quatre (4) de l’opposition et cinq (5) de la Société Civile. 
Ce constat montre à l’évidence que le parti au pouvoir est surreprésenté. Une telle composition ne peut nullement garantir des élections justes, transparentes et crédibles. 
Au regard de ce déséquilibre flagrant, deux (2) importantes décisions ont été prises contre la Commission Electorale Indépendante (CEI), à savoir : la Résolution 2062 du Conseil de Sécurité de l’Organisation des Nations Unies (ONU) et l’Arrêt du 18 Novembre 2016 de la Cour Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples. 
▷ La Résolution 2062 du Conseil de Sécurité de l’Organisation des Nations Unies (ONU) 
Lors de sa 6817e session en date du 26 juillet 2012, le Conseil de Sécurité de l’Organisation des Nations Unies (ONU) a demandé instamment « au Gouvernement ivoirien et à tous les acteurs politiques de veiller à ce que les prochaines élections locales soient ouvertes, transparentes, libres et régulières et se déroulent dans le calme, et à ce qu’elles favorisent la représentativité politique et la réconciliation, en choisissant une date opportune, en assurant la sécurité et en procédant aux réformes électorales utiles ». 
▷ L’Arrêt du 18 Novembre 2016 de la Cour Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples. 
Déclarant recevable la Requête (n°001/2014) de l’Organisation Non Gouvernementale (ONG), Actions pour la Protection des Droits de l’Homme (APDH) qui a attaqué l’Etat de Côte d’Ivoire sur le caractère déséquilibré et la partialité de la Commission Electorale Indépendante (CEI), la Cour Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples a condamné l’Etat de Côte d’Ivoire à modifier, dans un délai de douze (12) mois à compter du 18 novembre 2016, la loi n°2014-335 du 18 juin 2014 relative à la Commission Electorale Indépendante (CEI), pour la rendre conforme aux standards internationaux et à la Constitution ivoirienne. 
En effet la Cour a trouvé injuste et inacceptable que le pouvoir soit « représenté dans ladite Commission par huit (8) membres contre quatre (4) pour l’opposition ». 
En définitive, « La Cour conclut qu’en adoptant la loi contestée [loi n°2014-335 du 18 juin 2014], l’Etat défendeur a violé son obligation de créer un organe électoral indépendant et impartial, prévu par l’article 17 de la Charte Africaine sur la Démocratie et l’article 3 du Protocole de la Communauté Economique Des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) sur la démocratie ». 
La Cour précise également que l’Etat de Côte d’Ivoire a, par voie de conséquence, « violé le droit des citoyens de participer librement à la direction des affaires publiques de leur pays ». 
Au lieu d’exécuter promptement la décision de la Cour Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples et redorer ainsi l’image de la Côte d’Ivoire, le pouvoir en place a choisi d’user de manœuvres dilatoires. 
L’Etat de Côte d’Ivoire ne devrait pourtant pas tenter de se soustraire à l’obligation de déférer aux injonctions de la Cour pour plusieurs raisons : 
– L’Etat ivoirien a été partie aux procès où il a plaidé et perdu ; 
– La Côte d’Ivoire est partie à la Charte Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples qui a institué la Cour Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples. Le Règlement Intérieur de cette Cour stipule que «L’arrêt de la Cour est obligatoire pour les parties en litige ». (Art 61-5). En persistant dans la voie de la banalisation et du déni de cet arrêt, la Côte d’Ivoire se montre mauvais perdant et un Etat hors-la-loi. Elle s’expose ainsi à des sanctions aux niveaux sous-régional et régional. 
– Enfin, la Côte d’Ivoire est membre non permanent du Conseil de Sécurité de l’Organisation des Nations Unies (ONU). A ce titre, elle a l’obligation de respecter et d’exécuter les Résolutions et décisions des organisations internationales auxquelles elle a librement adhéré. 
En tout état de cause, la Résolution 2062 du Conseil de Sécurité de l’Organisation des Nations Unies (ONU) et l’Arrêt de la Cour Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples, confortent les forces politiques de l’opposition et les autres forces démocratiques dans leurs critiques formulées jusqu’à ce jour contre la Commission Electorale Indépendante (CEI). 
C’est le lieu de rappeler que la décision 2005-06/PR du 15 juillet 2005, relative à la Commission Electorale Indépendante (CEI), prescrit en son article 53 que le mandat des membres de la Commission Electorale Indépendante (CEI) prend fin à l’issue des prochaines élections générales, lesquelles ont eu lieu en octobre 2010. 
Par ailleurs, il convient de rappeler que Monsieur Youssouf Bakayoko, président de la Commission Electorale Indépendante (CEI) qui a organisé l’élection présidentielle de 2010, a violé les dispositions de cette institution en allant proclamer, seul et hors délai, un résultat non validé par la Commission Electorale Indépendante (CEI) au Golf Hôtel (Abidjan), Quartier Général du candidat Alassane Ouattara. Ce manquement grave, il faut en convenir, a été l’élément déclencheur de la guerre post- électorale. 
Ainsi, pour des raisons éthiques, morales et juridiques, Monsieur Youssouf Bakayoko, celui sous la responsabilité de qui la tragédie est survenue en Côte d’Ivoire, est à jamais disqualifié et ne saurait continuer à diriger cette institution. », a affirmé Youan Bi Agénor. 

Notons pour la circonstance la délégation du camarade Président Youan Bi Agénor était composée des camarades

Djah Désiré Michel, Dietro Euphrasie, Zohoré Guillaume, Guillaume Sekane,  Goulizan Didier, Nanan Yeboua Jean,  Assi Bernanrd,  Guédé Armand, Kouadio Soumoue.

Nous y reviendrons

 

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