LES FEMMES DE LA DIASPORA RENDENT UN VIBRANT HOMMAGE A LA PREMIÈRE DAME SIMONE EHIVET GBAGBO.
A l’occasion de la célébration de la journée internationale des droits des Femmes, le jeudi 8 mars dernier, les femmes de la diaspora se sont retrouvées à Paris pour rendre un vibrant hommage à une combattante infatigable, la Première Dame Simone Gbagbo toujours dans les liens de la détention du pouvoir illégal et illégitime d’Abidjan.
Pour les organisatrices, cette rencontre avait pour but d’agir en faveur de la libération de la Première Dame Simone Gbagbo à travers le slogan « Pour Simone Gbagbo agissons ensemble », et surtout retracer le long et historique combat des femmes pour leurs droits. Ce fut également l’occasion pour l’avocate Maitre Habiba Touré de rassurer à nouveau les femmes de la diaspora en lutte pour leurs droits sur la folle rumeur de la mort de la Première Dame Simone Ehivet Gbagbo et sur les perspectives en matière de lutte des droits des femmes en Côte d’ivoire sous le régime totalitaire et sanguinaire de Monsieur Ouattara.
Notons qu’au cours de cette rencontre, plusieurs personnalités de la vie politique dans la diaspora étaient présentes. A savoir les camarades Assale Ade, représentante du FPI, secrétaire générale du CODESCI Christine Zekou, camarade Kini et Mauland Thepault de Halte aux génocides, les femmes de l'UNG, du COJEP, du NPR et de l'AIDR. Mireille Saki Cfiaci, à Marie-Thérèse Lemarchand. Président Pascal Logbo, Alexis Zahoua, Claudel Guigui, Alexis Bayoro Gnagno, Houla Tidiane Tidiane et Dieye Raphael. Pour rappel, au début du XXe siècle, des femmes de tous pays s’unissent pour défendre leurs droits.
L’origine de cette journée s’ancre dans les luttes ouvrières et les nombreuses manifestations de femmes réclamant le droit de vote, de meilleures conditions de travail et l’égalité entre les hommes et les femmes, qui agitèrent l’Europe et le monde occidental, au début du XXe siècle.
La création d’une « Journée internationale des femmes » est proposée pour la première fois en 1910, lors de la conférence internationale des femmes socialistes, par Clara Zetkin, et s’inscrit alors dans une perspective révolutionnaire.
La date n’est tout d’abord pas fixée, et ce n’est qu’à partir de 1917, avec la grève des ouvrières de Saint Pétersbourg, que la tradition du 8 mars se met en place. Après 1945, la Journée internationale des femmes devient une tradition dans le monde entier.
Jusqu’à nos jours…
La date est réinvestie avec le regain féministe des années 70 et la « Journée internationale des femmes » est reconnue officiellement par les Nations Unies en 1977, puis en France en 1982. C’est une journée de manifestations à travers le monde, l’occasion de faire un bilan.
La Journée des femmes reste aujourd’hui d’une brûlante actualité. Car tant que l’égalité entre les hommes et les femmes ne sera pas atteinte, nous aurons besoin de la célébrer.