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LE COMBATTANT
2 décembre 2017

CPI/ LES DÉMOCRATES ET RÉSISTANTS DE LA DIASPORA EXIGENT LA LIBÉRATION DU PRÉSIDENT LAURENT GBAGBO.

 

 

 

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Après les révélations du journal français Médiapart sur le complot ourdi contre le Président Laurent Gbagbo et plusieurs jours d’interruption et de huis clos du procès du Président Laurent Gbagbo et du Ministre Charles Blé Goudé, le lundi 27 novembre dernier, les résistantes et résistants de la diaspora ont effectué le déplacement pour apporter leur soutien au Président Laurent Gbagbo et son Ministre de la jeunesse Charles Blé Goudé  et surtout suivre le procès dans la galerie de la prison  de scheveningen de la Haye où sont détenus injustement le Président Laurent Gbagbo et son Ministre de la jeunesse Charles blé Goudé. La délégation pour la circonstance était composée de la secrétaire générale du CODESCI Christine Zekou, Gnahoua  Agnès  secrétaire du Vice-président et Président par intérim du FPI Sangaré Aboudrahmane  , Adou Marie, Adjé Jeannette, Dadje Emile, Sinko Borgia.

   «  Nous sommes ici ce jour devant la prison de la Haye pour apporter dans un premier temps, notre soutien sans faille au Président Laurent Gbagbo et lui dire qu’il n’est pas seul dans cette épreuve pour son peuple. Nous sommes là, également pour dire aux mafieux, affairistes, en un mot  aux impérialistes et leurs satellites en Afrique,  que la diaspora et les démocrates du monde entier  ont compris le combat du Président Laurent Gbagbo pour l’émancipation des peuples en lutte pour la liberté, la véritable  justice et la démocratie et surtout la paix. Et deuxième pour dénoncer la parodie de procès en cours à la Prison  de la recolonisation de l’Afrique, et d’exiger l’arrêt du procès pour manque de preuves tangibles attestant le fameux plan commun du Procureur Fatou Bensouda. », a affirmé  Christine Zekou

   Après l’intervention de l’infatigable combattante  Christine Zekou, ce fut le tour de la camarade Gnahoua Agnès de prendre la parole et de fustiger l’institution à soldé des impérialistes (CPI) afin maintenir les leaders indépendantistes, souverainistes dans les prisons néocoloniales pour étouffer toute velléité de révolution.

   «  Merci Camarades pour  avoir répondu à l’appel, de la résistance face aux impérialistes via la cour pénale internationale. Nous avons une seule et unique phrase, CPI  trop c’est trop, il faut arrêter la comédie ; arrêter la comédie c’est de libérer le Président Laurent Gbagbo. Sinon comment comprendre qu’après le passage des généraux et surtout des experts, l’on continue encore le procès ? Qui  est plus sachant que les généraux et bien placé pour informer le monde entier sur les prétendus massacres des femmes d’Abobo, autres obus sur des marchés imaginaires de Monsieur Ouattara et sa Procureur Fatou Bensouda ? Ce sont bien les généraux et les experts. C’est pourquoi nous sommes ici pour dire à la CPI stop à la comédie, il est temps qu’elle libère pur et simplement le Président Laurent Gbagbo car depuis l’ouverture du procès le 28 janvier 2016, la procureure Gabienne Fatou Bensouda n’a pas pu apporter aucune preuve probante concernant le fameux plan commun. », a déclaré Gnahoua Agnès.

 

 

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Commentaires
M
LA PRISON EST UNE SANCTION PAR LA PRIVATION DE SES MOUVEMENTS ABITUELS, INFLIGEE A UNE PERSONNE RECONNUE<br /> <br /> COUPABLE D'UN DELI. ELLE CONSTITUE UNE OPPRESSION ET UN ABU LORSQUE PAR DES MANOEUVRE PAS CREDIBLE, ON USE POUR ETEONDRE LA VOIE DE NOS ADVERSAIRES. C'EST UN RACOURCIE QUE PRENNENT LES PERSONNES QUI NE SONT PAS SÜRE DE LEUR LEGITIMITE. C'EST AINSI QUE BEAUCOUP DE PERSONNES SONT JETEES EN PRISON. PRIVER LA NATION IVOIRIENNE D'ICONE DE LA SAGESSE ET DE LA POLITIQUE COMME LAURENT GBAGBO, SON EPOUSE ET LES AUTRES, C'EST DECRETER QUE L'AFRIQUE N'AIT D'AVENIR QUE LA PLACE MEDIOCRE QUE LES NATIONS OOCIDENTALS LUI ONT RESERVEE. CELA MERITE D'ETRE DENONCE. JE SOUTIENS DONC TOUTES LES INITIATIVE PANAFRICAINE POUR LA LINERATION DE PRISONNIERS POLITIQUES. DIEU DE JUSTICE, VIENS A NTRER SECOURS;
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