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LE COMBATTANT
24 mai 2017

La Côte-d'Ivoire a besoin d'un homme d'État, la Côte-d'Ivoire a besoin de Laurent GBAGBO pour la conduire.

1)         Debut janvier 2017, 8.400 mutins se son manifestés par les armes, exigeant leur part du butin de la guerre livrer au président Laurent GBAGBO et la Côte-d'Ivoire. Le pouvoir Ouattara leur à donné une satisfaction financière, mais partielle. Le reliquat étant échelonné sur 7 mois (Nous nous gardons d'avancer des chiffres, car les montants de ces accords sont secrets) .

2)                  Du 12 au 17 mai 2017, devant le non paiements des échéances, les mutins ont fait parler la poudre. Ils ont conquis et pris possession de l'état-major des armées et les principaux camps militaires du pays, y compris les grandes armureries, qui ont été vidées au passage. Ils ont paralysé toutes les villes du pays, en en fermant systematique des corridors. Ils se sont attaqués à des manifestations du RDR, le parti de leur mentor, Ouattara... Pour les contenter, le pouvoir a conclut, avec eux, un accord assorti de fortes sommes d'argent. Accord qui semble leur convenir.

3)                  Le 23 mai 2017, encouragés par la "générosité" de leur mentor, d'autres combattants pro Ouattara; 6.700 démobilisés cette fois-ci, emboîtent le pas aux mutins par des manifestations, réclamant leur part du butin de guerre. Le pouvoir leur oppose la repression. Bilan des manifestations entre 3 et 5 morts, selon les sources.

4)                  Les causes de cette mutinerie ? Des promesses non tenues. De fait, pour renverser, Laurent GBAGBO, celui que les ivoiriens ont elus en 2010; Alassane Dramane Ouattara, opposant et chef de guerre, s'est attaché les services de mercenaires, de mutins et de démobilisés. Il à promis à chacun entre autre : 18 millions de francs CFA, une villa et de mutinerieseans l'armée régulière. Au décompte, les manifestants armés ont constaté, désabusés, que leur employeur ne respecte pas ses parts du contrat. Ils ont vu dans les armes le meilleur moyen de se faire entendre. Voilà les raisons de tout le déploiement de violence que nous subissons.

5)                  Le COJEP n'est nullement etonné du refus viscéral, du chef de l'État Ouattara à honorer ses engagements.  Pour ce monsieur, un accord ne vaut que par les droits qu'il procure, les devoirs ne le concernent jamais. Il n'exécute ses devoirs, que s'il y est contraint. A titre d'exemple, Ouattara a renié l'engagement qu'il a pris lors des accords politiques de Pretoria. Selon ces accords, Alassane Dramane Ouattara, candidat exceptionnel, ne pouvait se présenter qu'à la seule et unique élection de 2010. Une fois le pouvoir conquis par les moyens que l'on sait, Ouattara n'hésita pas à renier sa signature et à se présenter selon des "modalités dérivées de candidature". Ceux qui ont signé des accords avec cet homme sont avertis : Ouattara est sans foi ni loi.

6)                  Le COJEP compatit à la souffrance des ivoiriens en général, et des victimes directes de ces mutineries, en particulier. Cette prise d'otages de l'ensemble du pays par Ouattara et de ses enfants n'a que trop durée.

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La Côte-d'Ivoire a besoin d'un homme d'État, la Côte-d'Ivoire a besoin de Laurent GBAGBO pour la conduire.

7)                  Le COJEP, condamne cette propension des troupes issues de la rébellion à n'avoir pour seul moyen de revendication que l'usage des armes. Au demeurant, ils semblent avoir le mode de fonctionnement exacte de leur leader. Si non, comment comprendre que devant les revendications et grèves des fonctionnaires, le pouvoir reste de marbre?

8)                  Le COJEP accuse, le chef de l'État, Alassane DRAMANE Ouattara de semer dans l'armée les graines d'une division qui sera préjudiciable la cohésion de l'armée nationale. Non content de diviser les ivoiriens par le rattrapage ethnique, l'homme Ouattara divise les corps constitués. On peut le dire, Ouattara est le plus grand diviseur commun des ivoiriens.

9)                  Pour le COJEP, notre pays a besoin de Laurent GBAGBO, celui que le président Sangaré Abou Drahamane nomme, "chaînon manquant de la réconciliation véritable" de ce pays. Réconciliation avec lui-même et avec les valeurs de la république. Il est temps de libérer Laurent GBAGBO pour sauver le navire Côte-d'Ivoire.

10)              Le COJEP se réjouir de la manifestation de la vérité sur la guerre post électorales de 2011. Le fameux plan commun imputé au président Laurent GBAGBO est en réalité un plan commun de Ouattara. Celui-ci,  pour conquérir, militairement, le pouvoir et piller les richesses de notre pays, fût aidéàl'international, de la France, de l'ONU et de mercenaires provenant de toute l'afrique de l'ouest et àinterne des mutins de l'armée (8.400 personnes) et des démobilisés (6.700 personnes); . L'heure est venue de rendre, enfin, justice à la vérité et au président Laurent GBAGBO.

11)              Le COJEP est convaincu que le drame ivoirien n'est qu'a ses débuts car les promesses farfelues du dictateur Ouattara sont, hélas, nombreuses. A tous, Ouattara à promis mont et merveilles. Pire, ils ont toujours leurs armes prêts à l'emploi.

12)              Le COJEP condamne énergiquement l'utilisation des fonds et ressources de l'État pour honorer des contrats privés. L'homme, en effet, n'était pas encore président lorsqu'il nouait ces alliances démoniaques, pour le malheur de la Côte-d'Ivoire.

13)              Le COJEP dénonce ces contrats et rassure l'opinion que le moment venu, il va engager des procédures judiciaires en répétition de ces sommes indûment et frauduleusement soustraites des caisses de l'État par Alassane DRAMANE Ouattara.

14)              Le COJEP est heureux  de constater que l'entente des ennemis du président Laurent GBAGBO, est rompue. Des positions inconciliables sont ténues, par le RDR politique d'une part et par le RDR militaire de l'autre. Sommes nous en train de vivre "la confusion " dont les hommes de Dieu parlaient? Nous prions l'Éternel des Armées, de continuer son œuvre de justice et de verité en Côte-d'Ivoire.

15)              Le COJEP reste convaincu que la solution au chaos ambiant, est, la personne et la politique du président Laurent GBAGBO, l'homme de la vérité et du consensus.

 

Fait à Abidjan le 23 mai 2017

Le président du COJEP

AGÉNOR YOUAN BI.

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