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LE COMBATTANT
26 mars 2017

Le VICE Président Gnagne Yadou Maurice en tournée d'information et de mobilisation pour la fête de la liberté à AKOURE

 Après la tournée historique à l'ouest de la côte d'ivoire conduite par le Président intérimaire du parti de Gbagbo FPI, Sangaré Aboudrahmane. Le samedi 25 Mars 2017 à l'initiative du Vice Président chargé de la mondialisation du Front Populaire Ivoirien, le Professeur Gnagne Yadou Maurice s'est tenu la tournée d'information et de Mobilisation des militants et sympathisants dudit parti dans le département de Jacqueville (fédération de Jacqueville,région des grands ponts), plus précisément dans le village de Teffredji sur ile de Deblai dans la sous-préfecture d'Attoutou. En prélude de la grande et historique fête de la liberté qui se tiendra le 30 avril 2017 à Akouré dans la sous-préfecture d'Alépé.

    A Jacqueville, première étape de sa tournée, le vice Président Gnagne Yadou Maurice a expliqué la situation sociopolitique qui prévaut en Côte d'Ivoire aux militants. Avant tout propos le Président a tenu à remercier la mobilisation des camarades militants (es) de la dite location. IL également profité pour donne aux militants les nouvelles fraîches du Président Laurent Gbagbo détenu injustement à la cour pénale internationale " Je vous informe que le Président Laurent Gbagbo se porte bien, même à merveille, il vous salue peuple de Jacqueville et il est content parce que vous aviez compris son combat et demeure confiant pour sa libération et il vous demande de rester mobiliser comme un homme car il sera bientôt parmi avant la fin de cette année " a déclaré le Professeur Gnagne Yadou Maurice. 

    Il a également rappelé que, depuis l'avènement du multipartisme en 1990, le Parti de Gbagbo FPI a été à l'avant garde de la lutte démocratique. Un parti politique qui, a incarné les espoirs de changement en Côte d'Ivoire par ses prises de position, par un projet de société et un programme de gouvernement.

    Poursuivant le vice président Gnagne Yadou Maurice abordé le cas du sieur Affi N'guessan,le bras séculier du pouvoir oligarchique et dictatoriale d'Abidjan.

    Monsieur AFFI N’guessan fait encore parler de lui. Aussitôt la tournée historique d’Abou drahamane Sangaré dans l’ouest de la Côte d’Ivoire terminée qu’il lui fait parvenir un courrier de menace par exploit d’huissier. Pour l'égaré Affi N'guessan , le gardien du temple, à savoir le Président par intérim Sangaré Aboudrahmane qui avait fait de lui premier ministre en 2000, userait de titre et fonction qu’aucune instance du FPI ne lui a attribué pour mener des activités dissidentes. Monsieur AFFI N’guessan, l’ingrat, fait ainsi référence à la tournée du président par intérim Aboudrahamane Sangaré dans l’ouest du pays.

    Le succès de cette tournée marquée par une mobilisation exceptionnelle et les honneurs militaires faits par les forces armée de Côte d’Ivoire (FACI), trouble profondément le sommeil de l’usurpateur et traitre encore plongé dans ses rêves sans issus.

    La mort politique du sieur Affi N'guesan est si évidente et terrible qu’il reproche au fidèle compagnon du Président Laurent Gbagbo d’usurper son titre de vice-président du FPI. Il va même jusqu’à penser que les actions du président Sangaré contribuent à semer la confusion au sein des militants. Au regard de tout ceci, il est clair que l’idiotie politique de celui qui avait eu pour mission de décapiter le FPI et d’effacer le président Laurent Gbagbo du schéma politique ivoirien est spectaculaire.

     Après avoir entraîné le parti dans des combats sans issus d’où il est sorti perdant et déshonoré par des scores déprimés et ahurissants, le traitre AFFI se fait passer aujourd’hui pour un moralisateur ou du moins un réconciliateur. Comment quelqu’un qui a réduit au silence des militants du FPI par la prison peut-il encore prétendre se soucier de l’unité du parti? " a martelé le vice Président Gnagne Yadou Maurice.

    Après le Professeur ce fut le tour du camarade Assi Ohoueu Bernard secrétaire National de la région de la Mé( Adzopé, Alépé etc..) de prendre la parole afin de s'adresser aux militants, " je vous remercie pour la mobilisation camarade, la fête de la liberté aura bel et bien lieu à Akouré, le 30 Avril 2017,il faut nous mobiliser pour montrer au monde que le Président Laurent Gbagbo a encore du monde, du soutien. Pour la fête de la liberté il y a un pagne uniforme qui coûte 3000 francs fcfa et le thème choisit pour l'occasion " FPI mobiliser pour la libération de Laurent Gbagbo" et surtout nous demandons avoir des banderoles marquant l'expression « Libération de Gbagbo ».et la fête se déroulera sur un jour ", a déclaré le secrétaire National Assi Ohoueu Bernard.

     A sa suite le camarade Kamé Kamé Guillaume qui abordera dans le même sens que le Professeur Gnagne Yadou Maurice, tout en fustigeant le pouvoir Ouattara. Après les différentes interventions des responsables du parti conduit par le vice Président Gnagne Yadou Maurice, ce fut la série des questions et réponses. Le camarade secrétaire de section de Jacqueville demandant les dispositions  sécuritaire prise par les responsables du parti lors de la fête de la liberté à Akouré ; le vice Président Gnagne Yadou Maurice s'est voulu très clair " Le Président Sangaré a conduit une tournée à l'ouest du pays, là où la guerre a été terrible, le FPI de Gbagbo y était. Ce que nous avons vécu à l'ouest on conclut que la côte d'ivoire est libre et la libération de la côte d'ivoire viendra de votre mobilisation. A Facobly, les FRCI ont voulu empêcher notre meeting mais la détermination des militants ont fait fuir les FRCI. Camarade soyez fort, et surtout n'ayez pas peur car la peur à changer de camps. Et n’ayez de haine contre ceux qui vous ont fait du tord. Aujourd’hui Gbagbo est devenu un os dans leur gorge, en cette année 2017 Gbagbo va sortir de prison ", a affirmé le professeur Gnagne Maurice.

    Le FPI appelle à la mobilisation de ses militants et de tous les démocrates, épris de justice et de paix à la fête de liberté à Akouré et c’est autour du FPI conduit par  le camarade Aboudrahamane Sangaré de montrer que l’heure est à la libération effective du Président Laurent Gbagbo et surtout de la Côte d’Ivoire des fossoyeurs de la démocratie ivoirienne.

   Pour rappel les signaux de la fête de la liberté devraient être perceptibles pour ceux qui interrogent l’histoire récente de la Côte d’Ivoire. Le symbole de cette rencontre, instituée depuis le 30 avril 1991 à Treichville, devrait être la propriété de tous les ivoiriens.

   En tous cas, pour tous ceux qui aiment chanter la démocratie et la liberté et vivre ces deux réalités au quotidien.C’est-à-dire un pays de liberté politique, syndicale et un havre de liberté d’opinion. Par le passé, sous feu Houphouët -Boigny (1960-1993), premier président de la Côte d’Ivoire, les choses n’étaient pas si simples. La constitution ivoirienne, en son article 7, autorisait le multipartisme. Mais Houphouët n’a jamais voulu le traduire en acte et en faire une réalité concrète. Résultat : le Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) régnait en maître absolu sur la politique. Il était à lui seul la politique. Il était un parti. Il était à lui seul l’Etat. Sa voix s’imposait à tous.

    Sa politique était censée être celle de toute la Côte d’Ivoire. Ceux qui ont tenté de dénoncer cet état de fait, non conforme à la Constitution ivoirienne et surtout aux antipodes de la gestion moderne des Etats, ont été ignorés, humiliés et privés de liberté. Le Syndicat national de la Recherche et de l’Enseignement supérieur (SYNARES) et son leader, Marcel Etté, sur le plan syndical, ont été la cible du PDCI. Laurent Gbagbo, le syndicaliste, puis l’homme politique, a souvent essuyé la colère de ce même parti. Qui lui a fait subir des tortures physiques et morales : il a été bafoué, humilié, emprisonné (plusieurs fois), puis contraint à l’exil.

    Pour ces idées et son obsession à vouloir pour son pays la liberté d’opinion et le multipartisme. Malgré tout, Laurent Gbagbo et ses camarades de lutte, dans l’incertitude de la clandestinité, se sont dressés. Au risque de leur vie. Devant un PDCI tout puissant qui crachait du feu. Contre les bastonnades, la prison et la rigueur de l’armée, ils ont misé sur la parole. Ils ont parlé à la conscience des ivoiriens. Ils ont fait le combat du bon sens et de la modernité ; c’est celui de la démocratie et de la liberté d’opinion. C’est donc imbibés de cette parole et convaincus de l’exigence de la démocratie que les ivoiriens ont fait pression sur le président Houphouët.

   Qui a appliqué l’article 7 de la constitution le 30 avril 1990. Il a autorisé, de ce fait, l’instauration du multipartisme en Côte d’Ivoire. Ce pays est indépendant depuis 1960. C’est une date qui sonne la rupture du cordon ombilical qui le liait à la France, le pays colonisateur. Mais la Côte d’Ivoire entre, au plan interne, dans une dynamique de liberté le 30 avril 1990. Une liberté qui est le ferment de toutes les énergies créatrices au plan politique, syndical et social. Une liberté garante, en somme, du progrès futur de la Côte d’Ivoire. C’est donc à cause du gain inestimable que représente l’octroi du multipartisme que le FPI a décidé, nous pensons, de commémorer cette date. Et en faire une fête de la liberté. 

    Ce parti politique fête également cette journée, nous pensons, pour témoigner de l’importance de la démocratie sur la prise des armes comme mode d’accession au pouvoir d’Etat. Le FPI prône l’alternance démocratique du pouvoir. Ce parti n’a jamais voulu prendre les armes pour arriver au pouvoir. Son leader Laurent Gbagbo, aujourd’hui à la cour pénale internationale, a fait des années dans l’opposition sans pour autant recourir aux armes. Malgré la rigueur du PDCI. Il a plutôt favorisé l’instauration du multipartisme. C’est donc une leçon à méditer pour la Côte d’Ivoire qui est en crise du fait de certains hommes politiques qui ont eu recours à la violence et aux armes dans l’optique de se hisser au pouvoir. La fête de la liberté parle à la Côte d’Ivoire de maintenant mais aussi montre la voie pour demain. Demain devra être un jour nouveau où triomphent les débats d’idées, la confrontation des projets de société, la démocratie, la paix et le progrès. Pour tous. C’est tout le sens de la fête de la liberté.

 

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Commentaires
Z
Bravo à vous patriotes pour la sensibilisation que vous faites aupres du peuple pour les mettre au parfum de tout ce que la patrie vit au quotidien ....Ovajaaab.
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LE COMBATTANT
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